L'architecture des maisons et leur disposition dans le village a, depuis 1975, a été évoquée dans de nombreuses publications (Bocquet et Orcel 1975, Bocquet 1976, 1995, 1999). La présente synthèse précisera certains points, amènera quelques compléments mais ne revient pas sur ce qui a été établi pour le premier village ; mais j'avais livré, rarement, quelques hypothèses sur le deuxième village, toujours avec beaucoup de réticences (on verra pourquoi) et celles-ci seront remplacées par d'autres probablement plus complètes et plus convaincantes.

Nous avons vu que le plan général (Fig. 3) fut relevé de fin décembre 1971 jusqu'en février 1972 à partir d'un axe est-ouest (matérialisé par un fil de fer) d'où partaient des triangles équilatéraux de 20 m de coté (marqués par des lettres). Chaque pieu visible ou facile à dégager fut positionné avec trois mesures prises à partir des sommets du triangle et marqué d'un numéro individuel gravé sur une plaque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plans et âge des pieux

J'ai travaillé sur les listes et les plans définitifs d'Archéolabs déposés à la Conservation du Patrimoine de l'Isère.
Une partie plus ou moins grande des troncs ont été datés dans les quatre espèces suivantes : le sapin, le frêne, l'orme et l'érable (Fig. 41). Les histogrammes synthétisent les années d'abattage des pieux et des madriers (bois couchés) en sapin de la 1ère et 2ème occupation.

 

A - PREMIER VILLAGE
L'interprétation des plans successifs livrés par la dendrochronologie du premier village permet une reconstitution graphique vraisemblable des vingt ans d'occupation que nous allons maintenant détailler et argumenter (Fig. 42).

Les plans (Fig. 43 et 44) figurent les 375 pieux datés par la dendrochronologie, exclusivement des sapins car aucune autre essence n'a été datée de cette période. Bien que non datés, des ormes ont été ajoutés autour des chapes foyères à cause de leurs positions et de nos observations de fouilles.

1 - Orientation générale des constructions - implantation symbolique du village

Le plan général et ceux qui ont été montés grâce à la dendrochronologie montrent une direction privilégiée des alignements de pieux et de l'axe de la plupart des maisons : sud-sud-est nord-nord-ouest formant un angle proche de 30° avec le nord (Fig. 43).
La dépression occupée par le lac de Paladru, orientée NEE-SSW, canalise le vent dominant venu du nord. De nombreuses poutres issus de la destruction des maisons, tombées sur l'eau et flottées, sont disposées suivant cet axe ce qui confirme cette direction du vent au Néolithique (voir plan Fig. 26).
Les constructions de la partie ouest des village sont alignées perpendiculairement à cet axe et celles de la partie est ont des directions un peu différentes.
Quelles considérations ont-elles été prises en compte pour déterminer cette orientation : le vent ou d'autres raisons rituelles pour le quadrilatère formé par les troncs de frêne ?

Une disposition de quatre pieux qui intriguent.
Quatre pieux, éclatés d'un même tronc de frêne de 16 cm de diamètre, sont disposés en carré et contiennent une maison complète avec son foyer central, construite en sapin : les sapins de l'an 1 et de l'an 2 se mélangent pour constituer tout l'édifice (plus long que le seul carré de frêne) sans que les pieux de frêne participent eux-mêmes à sa structure puisqu'ils sont tous doublés par les sapins (Pl. 6 - 43). Le quadrilatère inscrit trop précisément le noyau de la maison pour ne pas lui être directement lié.
On verra plus loin que les premières constructions ont été édifiées en l'an 2, utilisant des arbres coupés un an auparavant, en l'an 1 ; les quatre pieux de frêne ont-ils été mis en place symboliquement un an plus tôt, au moment des premiers abattages et de l'édification du premier " grenier " S 1 ?

La présence de ces poteaux de frênes est donc indépendante de la maison proprement dite et, de plus, les pieux issus de troncs éclatés sont rarissimes : sur plus de 1300, on en connaît seulement un en sapin et un en frêne éclatés en deux (et non en quatre).
Le débitage particulier de ces pieux et leur disposition en font donc des éléments exceptionnels dans le bâti du village, éléments sur lesquels on est en droit de s'interroger : ils pourraient être une manifestation rituelle ou religieuse dont l'archéologie ne retrouve que très exceptionnellement les traces dans les habitats néolithiques. Marquent-ils une destination particulière de l'édifice qu'il contient : maison du chef de village, activités communautaires ou simplement la première maison construite ?

2 - Les constructions successives

An 1 et An 2 du site : 2669 et 2668 av. J.-C. (Fig. 43 et 44 A).

- Abattage d'une vingtaine de sapins en l'an 1 avec construction immédiate d'une structure (S1) dans la cour est (grenier surélevé ?).
- Abattage de plus de 60 autres sapins en l'an 2 avec construction de la maison 1 avec la chape 4 utilisée durant toute l'occupation, de la maison 2 avec la chape 2 ayant la même durée (détails Fig. 8), d'une structure (S2) dans la cour et d'un grenier (?) excentré vers l'ouest : maison 11.

An 3 et An 4 du site : 2667 et 2666 av. J.-C. (Fig. 43 et 44 A et B).

- abattage de 55 sapins en l'an 3 et construction d'une structure (S3) dans la cour est.
- abattage de 66 sapins en l'an 4 pour construire la maison 3 en complément de sapins coupés en l'an 3 et des maisons 4 et 5 (détails sur Fig. 44 A). Les chapes 1 et 9 pour les maisons 3 et 4 ont bien été mises en place quelques années après l'arrivée. La maison 3 a été réparée en 5, 7, 9, 10 et 11 et la création de la chape 8 doit correspondre à ces modifications (détails Fig. 44 B).

An 5 : 2665 av. J.-C. (Fig. 43)

- mise en place de la palissade sud

An 9 : 2661 av. J.-C. (Fig. 43 et 44 C)

- abattage de 54 sapins pour modifier et agrandir la maison 2 avec un nouveau foyer (chape 3). Création de la maison 6 dans l'alignement de la maison 3 et complétée en l'an 10 (détails Fig. 44) pour laquelle aucun foyer ne fut mis en évidence dans cette zone non fouillée.

An 18 : 2652 av. J.-C. (Fig. 43 et 44 C)

- reconstruction totale de 4 maisons du village et du grenier à l'ouest avec l'abattage de 111 sapins. Les chapes 1, 2 et 8 continuent à fonctionner mais une nouvelle chape (la 11) est créée plus à l'ouest, utilisée jusqu'à la fin du village.
- Dans la cour est trois structures quadrangulaires prennent place dans l'alignement des maisons (greniers surélevés ?).
- les maisons 1 et 4 sont abandonnées : sur la maison 1 prend place un dépotoir important avec pierres de chauffe et la chape 9 de la maison 4 cesse d'être utilisée avant la fin du village puisqu'elle est recouverte de sédiments anthropiques.
- on ignore si la maison 5 a duré au-delà de l'an 18 : en effet elle n'a pas été fouillée donc on ne connaît pas l'évolution de sa chape foyère. Elle figure sur nos plans mais il y a un doute sur sa présence en l'an 18, après 14 ans d'existence…

Le quadrilatère de frêne originel de la maison 2 disparaît puisque la nouvelle maison qui la remplace est moins large, bien que sur le même emplacement.

Evolution architecturale

Les plans traduisent l'évolution architecturale du village de manière simple et cohérente avec la présence d'une vaste cour à l'est et d'une autre au sud où les cartes de répartitions localisent zones d'activités et amas de détritus (Voir plus loin) ; ces répartitions spatiales mises en évidence par Anne-Marie Christien (1989) sont parfaitement compatibles avec la disposition des éléments architecturaux et même les éclairent (voir publications).

L'interprétation des données dendrochronologiques fournit des résultats spectaculaires quand les conditions d'analyses sont bonnes : qualité et nature des bois, lisibilité de leur croissance, etc. Ces conditions ont été réunies pour la première occupation avec le sapin.

La reconstitution des quatre principales phases du premier village peut être tentée : Fig.45.

Les feuillus n'entrent pas dans l'ossature des maisons puisque les sapins sont suffisants mais ils ont certainement fourni quantité d'éléments pour des aménagements divers à l'intérieur (subdivisions, poutres et chevrons du toit en frêne et hêtre trouvés sur le sol d'abandon, etc.) et à l'extérieur des maisons ; c'est dommage qu'aucun n'ait pu être daté en absolu car leur absence donne une vue épurée, aseptisée du village, inconcevable pour un habitat forestier… Nous en gardons donc une fausse image.

3 - Les charpentes et les toits

La couche intermédiaire stérile B.2 contient 134 madriers couchés (Fig. 46 et 47). La grande majorité des 86 " madriers " de plus de deux mètres de long sont en sapin ; ce sont des restes des poutres ou chevrons, non calcinés et parfois fendus en deux, tombés sur le sol d'abandon (Fig. 46 A).
Ils proviennent de la destruction des quatre maisons et trois " greniers " (Fig. 47 A) édifiées en 18 ; 73, en sapin, ont été datés et 23 seulement sont de l'an 18. 24 ont été abattus pendant les deux premières phases de construction (en 59, 60 et 61) et les autres répartis entre 64 et 73 (Fig. 46 B). Le nombre de troncs abattus en l'an 18 ne représentant pas la moitié d'entre eux, il est évident que beaucoup de poutres ont été récupérées dans les toits des maisons démolies pour resservir dans les constructions neuves en l'an 18. Cela a dû aussi pour les poutres des maisons 1 ou 2 (an 58/59) qui ont été reconstruites en l'an 9. On remarquera que 13 poutres ont été abattues en 72 et 73, donc deux et trois ans avant leur utilisation en 18 : soit elles ont servi dans des anciennes maisons, soit la reconstruction était prévue et elles ont été stockées à cet effet.

Distribution des madriers couchés de la couche B.2

La moyenne du diamètre des madriers est inférieure à celle des pieux : la plupart se situe entre 8 et 10 cm (Fig. 46 C). La longueur est aussi intéressante à considérer : un tiers me-surent 2,50 m et sont vraisemblablement des chevrons et non des poutres (Fig. 46 D).

Pourquoi les madriers n'ont pas la même orientation que les maisons ?
Les madriers sont inclus dans la couche B.2, dépôt intermédiaire entre les deux occupations composé de limons lités et de débris d'écorces. Nous l'attribuons aux inondations ayant suivi l'abandon et qui ont scellé les vestiges des toits tombés au sol.

Des poteaux verticaux pourraient être tombés au sol mais il y a seulement six troncs de plus de 10 cm de diamètre dont la longueur est comprise entre 0, 90 m et 2 m, ce qui est insignifiant par rapport aux 111 pieux de l'an 18. Les pieux porteurs ont donc disparu après la chute des charpentes et on ne doit voir dans les madriers que les restes de celles-ci.

Si la direction grossièrement est-ouest des maisons est l'hypothèse la plus vraisemblable en accord avec la répartition dendrochronologique, on s'étonne de l'orientation nord-sud de la plupart des madriers (Fig. 47 A et B). On peut imaginer que, tombés au sol et après la disparition des poteaux verticaux qui les maintenaient à peu près en place, ils ont été repris par les mouvements de houle quand l'eau les submergeait au cours des inondations : ils se sont alors alignés suivant la direction du vent dominant et accumulés tout particulièrement sur le point le plus haut du site. Le niveau baissant, ils se posaient à nouveau sur le sol en gardant leur orientation
.
La destruction des toits a donc eu lieu en plusieurs étapes : chute sur le sol des éléments de charpente, pourrissement des pieux verticaux et leur élimination par flottage, puis reprise et réorientation des madriers couchés par les inondations.

Peut-on avoir une idée sur la morphologie des charpentes et des toits ?
La présence de portions à deux nefs à l'extrémité des maisons nous avait fait prendre le parti de toits à deux pans. Notre hypothèse est-elle encore acceptable après l'étude des vestiges de charpente des maisons de l'an 18 ?

En effet, si nous éliminons les troncs de moins de 2 m qui peuvent être des vestiges d'aménagements intérieurs car ils sont d'un faible diamètre (la plupart en dessous de 8 cm), on dispose d'un total de 360 m linéaires de poutres ou chevrons. La majorité de ces madriers de plus de 2 m de long (63 sur 86) ont entre 8 et 10 cm de diamètre (Fig. 46 C et D) :
- 47 madriers ont entre 2 et 4 m de long formant 136,50 m linéaires,
- 31 ont de 4 à 6 m soit 152 m linéaires
- 7 ont plus de 6 m soit 43,50 m linéaires.
La longueur totale des quatre maisons et des greniers est de 35 m au maximum.

1 - Pour un toit à deux pans, si on admet une panne faîtière et trois pannes par pan cela fait sept longueurs de 35 m, soit 245 m : or on a retrouvé 195 m de madriers de plus de 4 m ce qui ferait presque le compte avec des pannes écartées de 90 cm (Fig. 46 E).
- Si on admet trois pannes par pan cela ferait cinq longueurs de 35 m pour 175 m au total laissant un espace de 1,80 m entre deux pannes, ce qui fait bien large pour tenir une couverture ; et on disposerait de trop de madriers…
On peut donc admettre des toits à sept pannes soit avec quelques variantes, soit avec l'utilisation de quelques bois moins longs, soit un manque de 50 m de madriers dans notre amas.

Il reste 136,50 m linéaires en madriers de moins de quatre mètres, répartis en 47 pièces, que l'on peut attribuer à des chevrons : répartis sur les toits, ces chevrons auront un densité moyenne de 2,25 par mètre. Sur les 35 m de longueur d'édifices on aurait donc un chevron tous les 50 cm reposant sur quatre pannes écartées de 80 à 90 cm pour des toits à deux pans.

2
- Dans le cas de toit à un pan, les sept longues pannes disposées sur une largeur de 6 m, donc écartées de 85 cm, permettraient d'obtenir un toit plus en pente mais nécessiterait des poteaux de façades hauts d'au moins 5 m pour une habitabilité acceptable avec une paroi arrière de 1 m de haut (Fig. 46 E). Le vent dominant obligerait la haute façade vers le sud et on comprendrait mal la présence d'une porte de la maison 3, ouverte au nord sur la ruelle.
Nous ne retenons donc pas cette disposition du toit à un pan.

Dans les deux cas, les seuls madriers retrouvés posés sur le sol d'abandon de la première occupation sont amplement suffisants pour, une fois assemblés par des cordes, supporter une couverture végétale. Cette couverture devait être maintenue soit par des liens soit par des planches (on en a une en sapin très mince, de 3 m de long avec une mortaise apicale de fixation), sur des " vides " de 90 sur 50 cm parfaitement compatibles avec un remplissage de roseaux et/ou de branchages.
Si nous n'avons pas retrouvé toute la charpente des toits, ce qui est probable, on doit imaginer des espaces encore plus resserrés que ceux que nous avons déterminés…

En conclusion, il existe suffisamment de madriers pour conforter l'hypothèse de toits à deux pans que nous avons toujours avancée et qui ne semble pas raisonnablement remise en question.

Hauteur des maisons et pente du toit
La hauteur sous la panne faîtière nous est donnée par un tronc de hêtre fourchu de 3m50 de long (en vert sur les plans Fig. 47) qui a en supporter une ; mais il n'était pas assez enfoncé donc il s'est couché lors de la destruction (était-ce un poteau de réparation ?). Dans sa plus grande hauteur le faîte atteignait entre 3 et 4 mètres et si on suppose des murs latéraux de 1 m, cela donne une pente de toit voisine de 60°. Cette pente est compatible avec le bon écoulement de la pluie comme l'a montré la maison expérimentale de Villarbasse en Piémont (Bocquet 1994).

4 - Qualités des pieux et madriers (Fig. 48 et 49)

diamètre et densité des pieux (Fig. 48)
La plupart des pieux ont des diamètres de 12, 13 et 14 cm (moyenne 12,31), supérieure à celle de la 2ème occupation.
une densité des troncs forte de 10 à 16 cernes par années (moyenne : 12,93), très supérieure à celle de la 2ème occupation.
Les madriers ont des diamètres
plus faibles, la plupart entre 8 et 10 cm et certains étaient fendus en deux. Cela s'explique car la charpente ne supportait qu'un toit léger en matière végétale (branches, roseaux, etc.).

Nous avons représenté (Fig. 49) la densité des sapins utilisés pour les quatre premières maisons de la première occupation. Des différences sont visibles qu'il faut comparer avec l'origine des pieux dans la forêt : les arbres de la maison 1 sont pris en lisière.

5 - Autres bois (Fig. 50)
Si la datation affecte seulement les sapins, on sait, par les copeaux, que d'autres essences ont été travaillées. Le sapin domine les restes de hêtre puis d'érable, de frêne et plus rarement d'aulne. Ces arbres devaient constituer la base des aménagements divers et figurent parmi les 413 non datés.

 

B - LA PERIODE D'ABANDON ENTRE LES DEUX VILLAGES (Fig. 51)

L'analyse des feuillus, en 2003, place 88 pieux dans la période d'abandon : on s'était déjà posé la question d'une utilisation du site car sept dates de sapins avaient été attribuées à cette période (de 46 à 56) lors des premières analyses.

Ils ont été datés (voir tableau au début) entre l'an 39 et l'an 57 du site (avec sapin, frêne, orme et érable) ; des pieux ont été plantés presque toutes les années jusqu'à la dernière installation (an 58) avec des essences variées où dominent l'orme et l'érable, mais ils ne s'organisent jamais de façon cohérente.

La fourchette des diamètres est large, de 4 à 19 cm avec une grande majorité se situant entre 11 et 17 cm et devraient correspondre à des constructions assez importantes que les datations proposées ne nous permettent pas de retrouver. La figure 52 matérialise les dates d'abattage et les diamètres des essences utilisées tels qu'ils sont fournis par le laboratoire et dont certains sont sujets à caution, comme on le verra.

S'il y a eu des pieux plantés à cette période, on pourrait penser qu'il y a eu deux rotations avant le retour sur le site, les villages ayant une période d'activité de 20 ans environ et l'abandon ayant duré une quarantaine d'années,. Ils se placeraient pendant les 20 ans qui précèdent la nouvelle installation : ils seraient l'œuvre de villageois plus proches que ceux du village antérieur. La palynologie confirme cette présence dans les environs.

Avec ces pieux, si certaines dates données sont exactes (ce dont je doute), je vois seulement des aménagements au bord de l'eau qui ont été utilisés à des fins que l'on ignore ; on verra que les analyses isotopiques O16/O18 montrent un climat assez sec durant l'abandon donc un niveau du lac plutôt bas.

 

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Bibliographie

L'appel de la bibliographie se présente sous deux aspects :
nom et année
à retrouver dans la bibliographie générale,
ou nom, année suivi de " Coll. " (collectif) se trouve dans la liste Collectif 2005, dans la Bibliographie. Cette liste regroupe toutes les études non publiées.

Première phase de construction de l'an 1 à l'an 9 du site avec ses trois stades
Deuxième phase de construction en l'an 18
Le village en l'an 9 du site
LES VILLAGES ET L'ARCHITECTURE DES MAISONS
PAR LA DENDROCHRONOLOGIE
le village en l'an 18 du site